

Si je devais n'en garder que sept...
Pourquoi eux ? "Si c'est un homme" de Primo Levi, parce qu'il questionne, justement, l'humanité. "Magellan" de Stefan Zweig, pour le portrait vivant d'un homme qui voulait passer les frontières. "L'attrape-cœurs" de Salinger, pour l'émotion, le désespoir, la douleur d'être jeune. "Le K" de Dino Buzzati, lu il y a bien longtemps, puis relu de nombreuses fois. "Le Grand Meaulnes", d'Alain-Fournier, pour la magie des brumes matinales. "L'homme qui prenait sa femme pour un chape